Georges-Olivier Châteaureynaud, Contre la perte et l’oubli de tout : Le visionnaire
Georges-Olivier Châteaureynaud porte toujours un chapeau. Des vestes amples, plutôt du beige. Une tenue décontractée, « sport », dirait-on dans les magazines féminins ; ce gentleman-farmer du milieu littéraire, inventeur du « réalisme magique », est... Lire la suite
Georges-Olivier Châteaureynaud, Aucun été n’est éternel : Le bel été du chevalier Aymon
Aymon porte un nom de légende, mais il n’est, lorsque s’ouvre le roman, que le chevalier de sa propre petitesse. Il doit son patronyme, celui d’Aymon de Dordogne dont on chante la geste dans une chanson du XIIIe siècle, à des parents érudits,... Lire la suite
Georges-Olivier Châteaureynaud. Extrait de : Aucun été n’est éternel
EXTRAIT > Athènes Dans son innocence, Aymon n’avait pas soupçonné qu’on puisse être amants par intervalles. Cécile ne faisait que se prêter de temps à autre. Tant que ce n’était qu’à lui il n’en souffrait pas. Elle lui ouvrait quand ça lui chantait... Lire la suite
Georges-Olivier Châteaureynaud. Extrait de : Le Goût de l’ombre
EXTRAIT > Avec le recul, je me dis que j’aurais dû m’en douter. Je ne me sentais pas malade à proprement parler, mais tout de même, ces étourdissements continuels auraient dû m’alerter. Je perdais pied, un peu comme à la mer. Vous avancez dans... Lire la suite