Du poète Lucienne Desnoues sur la mort de Giono

Que l'on aime ou pas du tout l’homme Giono, que l’on admire, ou pas, également l’œuvre littéraire toute entière, sinon seulement, c’est selon,  tel ou tel de ses livres, il a par ailleurs tant fait parler de lui à divers sujets et pour diverses raisons, parfois même carrément contradictoires, au cours de sa foisonnante carrière que – faisant par là couler tellement plus d’encre qu’il n’en aura finalement jamais employé lui-même ! – dans l’avalanche de témoignages et d’hommages probes ou plus ou moins de circonstance parus suite à l'annonce de sa mort, nombre d'entre ces derniers furent avant tout banalement dithyrambiques.
Cela tandis que certains autres, parce que purement confidentiels, sont jusque-là restés bien à l'abri de la lumière, telle par exemple, cette courte mais dense épistole – doublement reconnaissante – du poète Lucienne Desnoues adressée alors non pas à la famille ni à la presse, mais à ses chaleureux proches amis Fiorio dès le lendemain même du brusque décès de l’écrivain.

André Lombard

Un autre poète de la famille
Lucienne Desnoues, biographie

 

 

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