Mensonges & Vérités sur la Covid-19

En mai 2020, le premier à tirer le signal d’alarme fut le professeur Perronne (Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?) et l’on sait quel sort lui fut réservé (calomnié, suspendu, déchu, mis à la retraite). Lequel récidive ces jours-ci sur un sujet encore plus grave : ce qui va se jouer le 27 mai à Genève, au sein de l’OMS, qui tente rien de moins que d’instaurer un contrôle mondial sur les États au principe d’une éventuelle nouvelle pandémie (sic). Puisque le test Covid-19 s’est passé mieux que prévu, que les peuples obéirent bien sagement, la phase 2 est lancée, qui consiste à tenter de contrôler le monde entier depuis un seul donneur d’ordre : l’OMS. Et quoi de mieux pour faire peur aux gens que la maladie ?
En avril 2021, Xavier Bazin tira un second coup de semonce pour dénoncer les mariages consanguins entre politiciens et scientifiques sous l’influence des grands laboratoires : après le contrôle des peuples, leur prendre leur argent en les forçant à tous se faire vacciner… c'est gratuit c'est l'État qui régale !
Depuis le retour à la vie normale, la Russie ayant eu la bonne idée d’intervenir pour défendre les populations civiles du Donbass d’un massacre d’État commis par des milices néo-nazies, l’attention fut détournée mais ce n’est pas pour autant que le sujet est clôt. Bien au contraire ! Ainsi, nombre de scientifiques et d’associations de victimes des vaccins ont travaillé à la recherche de la vérité, et le tissu vertueux qui recouvrait la problématique tend à se déchirer, tant est si bien que même la presse dite généraliste commence à faire marche arrière. Tout le moins en Allemagne et en Suisse, où des procès retentissants sont à venir (puisque les plaintes ont été reconnues comme recevables), ainsi celle déposée par l’avocat zurichois Philipp Kruse contre l’agence suisse de surveillance des médicaments est un modèle du genre. De même Neue Zürcher Zeitung, journal de l’élite suisse, fustige la politique menée contre le Covid. Mais en France, c’est toujours le silence assourdissant ; même que dernièrement mon zapping quotidien m’a confronté à une abomination sur la chaîne LCP où une capsule a été diffusée, mettant en scène une adolescente posant les bonnes questions à laquelle un pseudo-journaliste répondait en continuant à colporter les mensonges officiels, démontrant combien nos gouvernants n’ont toujours pas pris la mesure du désastre qui s’annonce, car à plus reculer, à plus nier l’évidence, plus brutal sera le réveil !
Raison donc pour se plonger sans plus tarder dans ce livre, somme d’un travail considérable émanant de chercheurs et médecins français, renommés et offrant une forte documentation appuyant ces révélations que tout le monde (re)connaît désormais, ou presque…
Ce cas est un cas d’école car il met en pratique toutes les techniques de manipulations : un récit officiel se réclamant de la Science (donc difficile à critiquer), un récit protégé au prix d’une censure et d’un ostracisme jamais atteint à ce jour, un récit-vérité porté par un cartel états-unien constitué par l’industrie pharmaceutique. Le récit devient une doxa, soit une norme de pensée qui concourt à protéger l’ordre social (quoiqu’il en coûte, en argent mais aussi en vies humaines) en faisant croire au peuple que ce sont les plus compétents qui gouvernent quand, au contraire, ce sont les plus corrompus !
Car la vérité dérange : le SARS-Co V2 n’est pas d’origine naturelle, le virus n’a jamais menacé que les personnes très très âgées et/ou très malades, les modèles de prévision étaient tous faux, les traitements existaient (très peu onéreux), les confinements n’ont sauvé aucune vie ni stoppé l’épidémie, les vaccins n’en sont pas et ont engendré un surcroît de malades et de morts du fait de leur très nombreux effets indésirables.
Pour cela, il fallut censurer : Facebook bloqua la page du British Medical Journal qui est le seul à avoir osé publier des avis contraires à la doxa et annula 167 millions de messages liés à la pandémie entre mars et octobre 2020, tout comme elle ferma la page française consacrée aux effets indésirables du vaccin, regroupant 200 000 abonnés, en juillet 2021 ; Youtube fit de même en supprimant les vidéos désobligeantes ; Twitter a obéi aux injonctions du FBI de contrôler les messages indélicats. Par exemple, dès mars 2020, un collectif de 2000 praticiens se regroupe (Laissons les médecins prescrire) et une pétition s’invite, portée par l’ancien ministre de la santé, Philippe Douste-Blazy, qui recueille 600 000 signatures mais les médias n’en parlent pas, le grand public n’est pas informé, le cartel veille à faire barrage.
Pire encore : l’État américain protège Pfizer ! Depuis que la FDA est financé à 50% par les laboratoires (et non plus à 100% par l’État), elle obéit ; si bien que lorsqu’une employée signale que les essais cliniques posent d’importants problèmes, on la licencie et on continue, comme si de rien n’était (sic).

Ce qu’enseignent l’expérience et l’histoire, c’est que le peuple et les gouvernements n’ont jamais rien appris de l’histoire et n’ont jamais agi selon les maximes qu’on aurait pu en tirer.

Hegel, Sur la philosophie de l’histoire

Ce que l’on retiendra c’est une fois encore la petitesse de l’Homme, où même celui qui se pare de son aura de scientifique tombe dans le travers de vendre une histoire scientifique sans en respecter ni les règles méthodologiques, ni les connaissances accumulées, ni l’éthique. Cette crise révéla aussi combien ces scientifiques ne savaient pas appréhender l’idéologie du moment : le scientisme ! Sans parler des degrés divers et variés de la corruption qui gangrène les sciences médicales.
Car, contrairement à ce que les médias ont diffusé, tous les pays n’ont pas adopté les mêmes stratégies pour combattre la Covid-19. L’analyse des résultats avérés – c’est-à-dire le nombre de cas par million d’habitants et surtout la mortalité par million, au besoin corrigée en fonction des différences d’âge au sein des populations – au regard des mesures mises en œuvre permet d’évaluer leur efficacité. Il en ressort que la plupart des recommandations de l’OMS n’étaient pas pertinentes – vous savez ? l’OMS à qui on s’apprête à donner les pleins pouvoirs fin mai, vous n’avez pas oublié ? Les États qui ont refusé de les appliquer affichent des taux de mortalité Covid bien plus faibles que les autres.
Par exemple, contrairement à la France et à la Tunisie qui ont interdit le traitement proposé par le professeur Raoult basé sur la chloroquine, l’Algérie, le Sénégal et la Côte d’Ivoire l’ont appliqué, eux, et comme par hasard leur population en a grandement bénéficié avec des mortalités 15 à 80 fois moins élevées ! CQFD. Un enfant de huit ans sait que lorsqu’il est malade il faut écouter son médecin, pas le monsieur en costume qui gesticule dans le poste, ni le boulanger ou le garagiste. Pourquoi le bon sens s’est-il perdu si vite ?
L'extraordinaire Louis Fouché, qui conclut le livre, a peut-être la réponse, allez savoir...

François Xavier

Arno Mansouri (sous la direction de), Un autre regard sur le Covid-19, coll. Résistance, Demi-Lune, avril 2024, 494 p.-, 25€

PS - Un document déclassifié par la justice démontre que le vaccin Pfizer a été lancé en réalité en… mai 2019 sept mois avant l’apparition officielle de la covid

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